jeudi 23 août 2012

Petites statistiques...



Petites statistiques faites cet été pour mettre à jour la police d'assurance. Je me rends compte que ma collection de figurines compte plus de 3 300 figurines à l'échelle du 28mm. Soit:

Gamme Fantasy-futuriste (jeux GW: Battle, 40k et surtout Seigneur des Anneaux):
*1210 piétons
*141 cavaliers ou motards
*9 chars
*3 volants
*7 monstres variés
Je n'ai pas compté les machines de guerre.







La gamme historique est encore plus vaste:
*1661 piétons
*296 cavaliers
*18 canons ou machines de guerre

Comme tout cela est sous fichier excel, je sais maintenant que
-la gamme historique est peinte à 69%.
-la gamme fantasy-futuriste est peinte à 81%.

Je sais maintenant ce qu'il me reste à faire! Mais, entre temps, le petit dernier a pointé le bout de son nez. Il s'appelle Aurèle et mesure 50cm pour 3,4kg. Bienvenue à lui! Et pourvu qu'il soit aussi sage et gentil qu'Alexis!


vendredi 10 août 2012

USUTHU! la guerre anglo-zouloue pour BLACK POWDER






Projet achevé cet été pour préparer la campagne avec Olivier sur la guerre anglo-zouloue de 1879. Objectif: rejouer Isandlwana puis Rorke's Drift.
Toutes les figurines sont des Warlord Games-Empress Miniatures. Style de peinture: ultra-rapide avec utilisation massive d'encrages. Ben oui, c'était juste une pause dans la poursuite du (gros) projet Fontenoy!

Tout d'abord un Induna zoulou



L'infortuné colonel Pulleine et son aide de camp.



Le colonel Durnford, à pied et monté



Les carabiniers du Natal, montés et à pied.




The queen's colours.



Cavaliers Sikalis (Natal native horses)




Canon de 7 livres.


Tirailleurs zoulous.





La masse des Impis, constituée des boîtes plastique de Warlord.





 A suivre la "Thin red line" et les photos des batailles! J'ai hâte de voir les décors d'Olivier!





vendredi 3 août 2012

Projet Fontenoy 1745: ça continue!



 La Gendarmerie de France, seconde dans l'ordre de préséance après la Maison du Roy. Il s'agit de figurines Front Rank pour la guerre de succession d'Espagne; mais, à part les perruques des officiers, cela passe encore pour la Guerre de Succession d'Autriche.


Sous l'Ancien Régime, la Gendarmerie n'était pas une force de maintien de l'ordre, mais une branche de la cavalerie lourde, dont les origines remontent au compagnies de gens d'armes créées à la fin de la Guerre de 100 ans par Charles VII pour professionnaliser l'armée et chasser les Anglais du Royaume.


Sous Louis XIV et jusqu'à la Révolution, la Gendarmerie prend un habit rouge et ses différentes compagnies sont distinguées par la forme des poches ou des liserés blancs. Le drapeau a les Fleurs de Lys sur fond rouge.




 Très prestigieuses, les compagnies de Gendarmes accueillaient presque uniquement des nobles. Mais leur impétuosité les desservit, notamment à Minden en 1759 où leurs charges répétées furent repoussées par les Anglo-alliés.


 Un bataillon de grenadiers autrichiens, toujours de marque Front Rank.



Les grenadiers étaient les compagnies d'élite des régiments des régiments d'Ancien Régime. En campagne, les compagnies de plusieurs régiments étaient regroupées pour former un bataillon mixte. Comme il ne s'agissait pas d'une formation permanente, les bataillons de grenadiers n'avaient pas de drapeau régimentaire. Mais cela ne semble pas gêner les fabricants de figurines comme Front Rank, qui mettent quand même dans leur lot un porte-drapeau.



 Pour se distinguer, les grenadiers portaient un colback de fourrure ou une mitre en toile et non un tricorne. Cela rappelle leur origine à la fin du XVIIe siècle: pour lancer leur grenades, ils ne portaient pas un chapeau à larges bords qui les aurait gênés, mais une mitre. Au milieu du XVIIIe siècle, les grenades n'étaient plus utilisées sur le champ de bataille (trop dangereuses et trop facilement relançables).



Autre signe distinctif des grenadiers dans les armées européennes (Anglais exceptés): le port des moustaches. Les Autrichiens et les Hongrois y ajoutaient en plus des cadenettes, c'est-à-dire des petites tresses qui pendent le long des joues, et qui sont censées protéger le visage des coups de sabre.


jeudi 2 août 2012

Hisse et ho! Vent debout sur la Royale (TRAFALGAR)





 Quelques images d'une partie test de la règle navale Trafalgar.

Ma flotte anglaise qui essaye de remonter au vent. La frégate HMS Naïad a dû virer lof pour lof afin d'éviter une collision; ça m'apprendra à me déployer trop près.



La flotte franco-espagnole de Renaud.


La Royal Navy s'apprête à remonter au vent.


2 vaisseaux de 64 à gauche et un de 74 à droite. Renaud pâtit beaucoup du vent qui a tourné. Sa flotte se retrouve vent debout.


Vue arrière de la flotte franco-espagnole.


La manoeuvre anglaise se précise.


La HMS Naïad est toujours à la traine derrière les grosses bailles. Son capitaine sera traduit en cours martiale.


ça y est: les Britanniques ont remonté au vent et commencent à tourner autour de la flotte franco-espagnole.


 Le Vengeur (64) prend feu tandis qu'il est pris sous le feu du HMS Royal Sovereign (104) et du HMS Achille (74), lui-même atteint par le San Justo (74).


La manoeuvre anglaise finira par désemparer complètement le Vengeur, qui sera obligé d'amener ses couleurs.