mercredi 6 février 2013

Projet Fontenoy (re re suite!)


Allez encore quelques clichés de mes unités pour les "Guerres en dentelles".


Des Hussards prussiens  du 7e régiment (Malachowski).


 Durant la guerre de sept ans, Frédéric II de Prusse avait prêté quelques régiments de cavalerie aux Anglo-Hanovriens et leurs alliés, qui manquaient cruellement de cavaliers entrainés.


Le 7e régiment de Hussards envoya ainsi la moitié de ses effectifs (5 sur les 10 escadrons) combattre les Français dans le cadre de la "petite guerre" des postes.



Comme vous l'imaginez, au vu de leurs uniformes, on les appelait les "hussards jaunes" ou "les canaris".


Cette fois-ci, un gros bataillon d'infanterie autrichienne.






Et encore une autre unité de l'armée "pragmatique": les grenadiers à cheval hanovriens au service de Sa Gracieuse Majesté le roi George II.



En fait, l'unité a servi durant la SYW, et non durant la WAS. Mais je n'ai pas pu résister en voyant leur air martial et leur mitre!



Des Français pour changer: les "maîtres" du régiment Royal Cravate.



Et, pour finir, une unité dont je suis assez fier: des hussards hongrois du régiment Baranyay, au service des Habsbourg.








A suivre...

mardi 5 février 2013

Opération sauvetage au Mali (OPEX)

(La présentation des faits, des preneurs d'otage et des opérations de l'armée française ci-dessous est purement fantaisiste même si elle s'inspire d'une actualité brûlante. Les légendes des images ont une tonalité ludique censée retranscrire le climat bon enfant autour d'une table de jeu. En aucun cas le post ci-dessous ne doit être considéré ni comme une apologie du terrorisme islamiste, ni comme un manque de respect à l'égard des otages ou de leur famille, ni comme une remise en cause des opérations de l'armée française. Le choix d'un narrateur un peu benêt s'explique par l'impossibilité de donner la parole aux terroristes tout en restant humoristique. Ce qui peut passer à l'oral sous forme de vannes, serait très mal venu à l'écrit).



Chers téléspectateurs, nous interrompons les séquences normales de ce blog pour diffuser un communiqué spécial du président de la République sur les suites de l'opération au Mali.


Mes chers compa (...) TRIOTES. C'est euh (...) le coeur serré que je DOIS vous annoncer l'échec de notre opération de SAUVETAGE de notre (...) otage de la DGSE au Mali.




SOUVENEZ-vous de ces images INDIGNES euh (...) de notre otage déTENU depuis deux ans à cause des erreurs de MON prédécesseur.




Souvenez-vous du DEFI euh (...) lancé par les terroristes à LA FRANCE.

  
ALORS, j'ai confié la mission du sauvetage au meilleur élément de la DGSE: le lieutenant-colonel Philippe Scoumonovski de Hautecloque.







Avec pour MISSION d'exfiltrer note otage, PAR LA FORCE (...) euh (...) s'il le faut.



La zone avait été bien reconnue (c'est ce que mon conseiller m'a dit). Et l'opération a eut lieu euh (...) DE NUIT.









La zone était infestée de terroristes embusqués (c'est ce que mon conseiller m'a dit euh).











 Il semble que notre otage ait été détenu dans l'édifice central d'un village qui semblait aux mains des forces TERRORISTES.
 

Celles-ci effectuaient des rondes dans les rues désertes.


 

Mais nous SAVONS par nos services de renseignements que c'était un leurre et que des forces euh PLUS FORTES étaient dissimulées. Mais j'ai quand même décidé l'ASSAUT (c'est ce que mon conseiller et le lieutenant-colonel Scoumonovski m'ont dit).
 



Alors, un commando de nos forces d'infanterie de marine s'est héliporté sur place (...) euh.


Au début, l'opération semblait réussie, puisque les forces TERRORISTES n'avaient pas entendu les assaillants.








Nos militaires, postés en haut des bâtiments, assuraient un tir de couverture (c'est ce que m'a dit le lieutenant-colonel Scoumounovski).



Plusieurs sentinelles furent ainsi éliminées grâce au tir précis de euh (...) nos soldats.




Nos forces se faufilèrent dans l'obscurité en se camouflant dans les bâtiments les plus proches de (...) euh, la cible.





















Mais des pertes advinrent dans le bâtiment cible. Apparemment, des sentinelles avaient échappé à la reconnaissance (euh, c'est ce que m'a dit le lieutenant-colonel Scoumonovski).

Ce fut un moment de grande difficulté pour nos troupes au sol, d'autant que des renforts affluaient chez les forces ennemies.




 La maison, dans laquelle était dissimulé notre otage, et que le commando de sauvetage avait atteint, fut (...) euh assaillie par les tirs ennemis.


 

Mais le drame (...) euh eut lieu lorsque nos forces de récupération retrouvèrent l'otage dans la cave. (...) Un kamikaze préféra se faire exploser avec sa grenade que de (...) euh laisser notre otage euh s'échapper.



Nos forces héliportées purent euh, cependant, intercepter les renforts ennemis.






 
Mes chers compatriotes, je rends hommage (...) aux familles de nos soldats (...) tombés euh pour la FRANCE. Je prends toute la responsabilité de cette opération manquée en vous présentant aujourd'hui ma (...) euh ma considération euh sincère. Une COMMISSION sera bientôt nommée pour que TOUTE LA LUMIERE SOIT FAITE sur la responsabilité du lieutenant-colonel Scoumounovski de Hautcecloque (...) dans cet échec.

(Roulement de tambours et fond de musique entrainante)